La dégradation des écosystèmes est un problème globale.  En effet, au cours des cinquante dernières années, la dégradation des écosystèmes s'est vu augmenter drastiquement.  Les forêts reculent devant l'urbanisation, les barrières de corail du monde asphyxie, la superficie des déserts augmente, etc.  La dégradation des écosystèmes a de grave conséquences non seulement sur les espèces y-vivant, mais aussi sur les populations locales.  

Par exemple: l'Afrique.  L'Afrique voie ses déserts s'agrandir rapidement. Effectivement, les deux tiers du continent africain sont composés de terres arides.  Par ailleurs, des terres sèches utilisées en agriculture, le trois quart a observée une baisse de productivité au cours des dernières années.  De plus, selon une étude réalisé par le Programme des Nations Unis pour le développement: 45% de la population du continent vit sur des terres prédisposées à la désertification.

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Au Québec, nous avons un ministère de Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec.  Il le faut, plusieurs espèces vivant dans le territoire sont menacées.  Pourtant, les gouvernements, fédéral comme provincial n'a pas hésité a couper dans se domaine déjà sous financé.  Alors qu'il est cruciale de préserver nos parcs, car ils abritent plus de 70 000 espèces qui jouent des rôles majeurs sur notre santé.  

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Sans écosystèmes en santé, ce sera la santé de tous qui en souffrira gravement.  Et malgré les nombreuses rencontres et avertissements, la totalité des pays ferment les yeux sur la dégradation des écosystèmes.